Il y avait au Mali un excellent avocat qui défendait dignement le combat pour la démocratie et la liberté. Comme Poullori et son Funnere (Bisimillah) cet avocat était Pullo. Yette Dia est pullo ; yette Ba est pullo, yette soh est pullo, yette Diallo est pullo ainsi de suite. Et comme le funnere de Poullori est pullo et bon avocat il peut aussi être le tokora de cet avocat ; Funnere ne verra certainement pas d’inconvénient que Poullori le confonde avec cet avocat malien Me Demba Diallo. De plus, cest plus correct pour un funnere que d’être confondu avec un autre Demba célèbre, à savoir Kaw Dembayal. En effet, dans les contes et légendes peuls, Kaw Demba Boukki l’hyène symbolise la maladresse et la niaiserie. Il croit toujours avoir trouvé la réponse aux questions et la solution aux problèmes mais finit presque toujours par se faire avoir (sauf à de rares exceptions surtout quand il s’agit de manger). Poullori va donc préférer Me Demba Diallo à Kaw Dembayal.
Parce que Poullori est très heureux que son funnere enrichisse le débat et apporte des précisons utiles. C’est bien pour tout le monde tant que les choses se déroulent dans le respect d’autrui et de son opinion. Seulement Poullori regrette deux choses :
Primo : son homonyme lui répond sur un site qui contrairement à toutes les prétentions censure ses articles. A quoi bon décider de tenir ses lecteurs dans l’ignorance de ce qu’écrit Poullori et se donner autant de mal à proposer aux mêmes lecteurs les réactions aux écrits dont on les a jugés indignes ?
Deuxio : on accuse Poullori de défendre certains hommes de façon élogieuse et on ne réagit pas à l’article que Poullori a consacré à Samba Thiam.
D’autre part, Poullori va essayer de réagir à certaines critiques, souvent justifiées du reste, sans garantie d’être publié ailleurs que sur son blog ; mais bon, ce n’est pas chose nouvelle et ça ne dérange pas Poullori plus que ça.
Poullori confirme et assume le choix de la présentation élogieuse d'hommes qui le valent bien: Samba Thiam (qui curieusement semble avoir été oublié par certains, mais passons), Oumar Moussa Ba, Boubacar Diagana et d'autres à suivre.
La suite sera plus corsée inchaallahou. Les mérites seront rappelés comme chaque fois avec Poullori mais les difficultés semées et qui continuent de pousser seront aussi évoquées sans complaisance et les responsabilités situées.
Poullori voudrait savoir : Me funnere peut-il nous dire si avant et après Oumar Moussa Ba des personnalités bien en vue se sont rendues en Mauritanie oui ou non ? Si la réponse est non, funnere peut-il demander à la seule section Europe (ça suffira largement) de l’autoriser à donner des éléments précis et détaillés aux lecteurs ? Si la réponse est oui pourquoi Oumar Moussa Ba est sanctionné et pas les autres responsables qui ont commis la même "faute" ? Andi fof, haali fof, bonni fof (sait tout, dit tout, gâche tout).
Pour pouvoir se concentrer sur les problèmes cruciaux et fondamentaux auxquels les noirs de Mauritanie sont confrontés, Poullori pense qu’il vaut mieux rassembler les forces, rendre hommage à ceux qui le méritent, inviter les autres à se concentrer sur l’essentiel et s’attaquer au gros de l’ouvrage. Aucune compétence, aucune force, aucun individu qui le souhaite ne doit être écarté. Ce n’est pas le problème de quelques individus qui s’arrogeraient le droit d’exclure ceux qui ne sont pas de leur avis. C’est le problème de toute une communauté et des hommes ont donné leurs biens, leur sang et leur sueur pour cette cause. Pas question de laisser cet héritage à la fantaisie de quelques uns.
Poullori donnera à la fin de ce panorama, sa conception toute subjective de la stratégie à laquelle réfléchir et les points à traiter sans tarder. Les FLAMs doivent être soutenues et renforcées et Poullori prend l’engagement de donner sa part pleinement et en toute bonne foi. Patience inchaallahou taala.
Poullori évitera, tant qu’on ne l’y contraindra pas, de sortir du cadre qu’il s’est fixé : le débat sur les idées, les stratégies et les attitudes directement en relation avec la marche et les intérêts de la cause. Mais Poullori a déjà averti : il laisse le choix à ses contradicteurs potentiels. Si ce sont les coups sous la ceinture qu’ils choisissent, Poullori acceptera leurs conditions. Il ne demandera pas le cessez-le-feu.
Certains perdent leurs ressources pour débusquer Poullori comme si Poullori se cachait ! Poullori a choisi de s’effacer devant les idées et l’essentiel pour éviter que les choses tournent à la querelle de personnes. Mais Poullori prend un engagement : si tout le front s’unissait il considérerait que sa mission est arrivée à son terme. Poullori montrerait alors publiquement ses coordonnées et sa photo pour ceux qui le souhaitent (o mo boni nbaadi none= il n’est pas du tout beau) : so o huttete (s’il doit être dépecé), so o fellete (s’il doit être fusillé), so o judete (s’il doit être grillé), so o sahete (s’il doit être roti), so o muudete (s’il doit être avalé, comme de la poudre)… on verra bien. Ne dites surtout pas à Poullori que l’unité est impossible : nous ne sommes pas la ligue arabe et même Fatah et Hamas se sont enfin entendus ! Inutile donc de salir des innocents.
A funnere Me Demba Diallo avocat à la cour : Poullori n’est pas B. mais Poullori sait à qui pense Me Demba Diallo. Funnere pense à cette personne parce que dans la vraie vie en effet ils sont presque des funeebe. Poullori prévient : il se fera le devoir de répondre coup pour coup à la place de ceux qui seront impliqués à tort dans cette histoire par sa faute. Le monde est pris à témoin et devra se préparer à lire des choses pas très propres et toutes prouvées. Andi fof, haali fof, bonni fof. So ina bona tan yo bone gootol.
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